La bonne cuisine Thaï ou : empoisonnement général au glutamate de monosodium.

La bonne cuisine Thaï ou : empoisonnement général au glutamate de monosodium.

Les touristes raffolent de la cuisine Thaï. J’ai entendu maintes et maintes fois des gens vanter le goût des plats au currys ou des soupes de poulets que l’on peut acheter dans la rue pour 50 baths la portion.

C’est pas cher, ça a du goût… Que demande le peuple ?

Et ça paraît presque trop beau pour être vrai.

Je sais que les touristes occidentaux viennent avec des idées très préconçues sur la Thaïlande. Dans le plus pure style : « le bon petit sauvage »…

A les entendre, les Thaïs cultivent toujours leurs champs avec la houe et le bœuf et la nourriture y est naturelle et pure comme celle d’antan.

Je suis désolée, je vais casser le mythe.

Primo : les Thaï ne sont pas en reste du tout en terme d’agriculture et d’élevage intensifs. BIEN AU CONTRAIRE !

La grande majorité des marchés locaux ne proposent à la vente que des fruits et légumes bourrés de pesticides. Je me permets de préciser également que la Thaïlande est l’un des pays qui irradie le plus ses aliments, en particulier les mangues. (ceci afin déviter « la mouche de la mangue », qui peut faire des ravages dans les cultures en pondant des œufs dans les mangues. Les larves dévorent rapidement le fruit).

→ Une bonne chose par contre et c’est certainement ce que je préfère dans ce pays : n’importe qui peut récolter les fruits de son jardin et les vendre sur le bord d’une route ou devant sa porte. Donc si vous allez voir les petits marchands au bord des routes ou achetez les quelques fruits que les gens vendent devant leurs portes, vous aurez déjà des produits de bien meilleure qualité ^^

De toutes les manières, préférez les petits commerçants. C’est généralement dans ces échoppes que vous trouverez des produits du jardin ou même bio. Dans certains endroits touristiques, les thaïlandais ont compris l’intérêt que les touristes portent à ce type de produits.

A cause des OGM, évitez de manger trop de riz blanc et de soja. 200% génétiquement modifiés. Moi qui n’avais jamais eu de problèmes d’hormones, depuis que je suis ici, si je mange du riz blanc chaque jour, et je peux passer plus de 4 mois sans règles. Chaque fois j’arrête de manger du riz blanc, mes règles reviennent.

Une amie végétarienne qui mange du soja à tours de bras a pris presque 2 tailles de soutien-gorge en en quelques mois passés ici.

Je constate le même type problème, à savoir : taille de poitrine anormale chaque fois que je mange du poulet tout les jours pendant plus d’un mois.

Le poulet aussi : 200% hormones et antibios.

Une guérisseuse rencontrée à chiang mai m’avait d’ailleurs déconseillée de manger du poulet.

Quand aux fruits de mers, en particulier les crevettes, c’est la même chanson.

Ici, les normes pour la santé du consommateurs en Thaïlande, tu OUBLIES…..

Mais qu’en est-il du glutamate de monosodium ?

Quelle est exactement cette substance qui est en train de réduire le QI de toute la population de l’Asie du Sud-Est ?

Le glutamate est une excitotoxine. Autrement dit : ça excite vos neurones. A forte dose, le glutamate provoque la mort des neurones. Un bon résumé des effets secondaires du glutamate ici :

http://www.ladietetiquedutao.com/glutamate.html

Donc oui, concrètement, le glutamate s’attaque à votre cerveau et réduit votre QI. Faut pas se cacher la tête dans le sable, c’est la stricte vérité.

Et les Thaïs commencent à voir les dégâts provoqués par cet additifs. Certains n’en mettent plus, quelques restaurants affichent : « no MSG here ». Mais cette prise de conscience de la nocivité du glutamate est loin d’être générale. J’ai rencontré des gens en Thaïlande ou en Indonésie qui me disaient : « MSG ? Non j’en mets jamais, j’ai pas envie de devenir débile! »

En Asie, on peut trouver du monosodium de glutamate PARTOUT. Dans le moindre 7/eleven, dans la moindre échope de rue, vous trouverez des sachets de poudre blanche étiquettés : Ajinomoto.

Les commerçants autant que les particuliers en font usage. Dans les stands de rue qui vendent des padthaïs ou du riz frit aux légumes, vous verrez les thaïs ajouter le glutamate dans la poële à la cuillère à café !

Pour eux, c’est comme du sel. Donc ils en mettent PARTOUT ! Certains salent même le poisson avec !!

Ils mélangent aussi souvent le glutamate à du pseudo-miel ou sirop de glucose bon marché pour en tartiner les brochettes de viande et de poulet qu’ils font ensuite griller.

D’autre font mariner la viande à brochettes dans un mélange de sucre et de glutamate avant de la griller.

Si vous tombez malades en arrivant en Thaïlande après avoir mangé votre première soupe de poulet : c’est certainement le glutamate qui est en cause.

En effet, je vis ici depuis 2 ans et je n’ai jamais eu de problèmes à cause de viande ou poisson pas frais…

Dans tous les cas, sachez que la cuisine thaï contient presque systématiquement :

– de l’huile de palme, soit l’une des plus mauvaises pour la santé.

– du sucre blanc, en général une cuillère à café par portion. Dans absolument TOUS les plats, y compris le riz frit ou même une omelette… (diabétiques s’abstenir…)

– du sel blanc raffiné, beaucoup.

– du glutamate, une cuillère à café par portion là aussi.

Alors, vous commencez à comprendre maintenant pourquoi la cuisine Thaï est si « goûteuse » et addictive ?

C’est uniquement parce-qu’elle est bourrée de sucre, (forcément que c’est bon!), et d’un des plus addictifs et des plus dangereux exhausteurs de goûts, (forcément que ça a du goût!!!).

J’ai même entendu plusieurs fois des français dire que la nourriture Thaï leur manquait terriblement une fois rentrés en France. Ils disaient que c’étaient les épices… voui, voui, ça doit être le chili….

Dans les faits, le glutamate rend « accro ». En tant qu’excitotoxine, c’est un puissant addictif qui donne envie de manger plus.

Donc pas la peine de pleurer pour la cuisine Thaï une fois rentrés en France. Pas la peine non plus de tenter de reproduire les recettes Thaïs en désespérant de retrouver « ce goût unique » des plats mangés en Thaïlande….

Ca fait mal au cœur de le dire, mais cette fabuleuse cuisine Thaï achetée dans la rue pour 50 baths et qui était tellement plus vraie et plus naturelle et traditionnelle etc…. était un leurre. Les touristes accros à cette nourriture ont été dupés par un exhausteur de goût.

Donc oui, désolée, ça casse un peu le mythe……

Les solutions de Faranguette pour sortir du casse-tête de l’empoisonnement chronique :

Y’a pas de solutions miracles, mais y’a toujours moyen d’éviter de s’abîmer la santé, pour peu que l’on fasse attention :

A chaque fois que vous achetez dans un restaurant ou dans la rue, demandez : « mè saï churot douèï ka ». (à prononcer tel que c’est écrit, en roulant le R comme un L). Ca veut dire : « ne mettez pas de glutamate SVP ».

(« churot » signifie glutamate.)

Normalement, les restaurants qui affichent le panneau « clean food, good taste » n’utilisent pas de glutamate, mais il vaut mieux vérifier quand même.

Dans tous les cas, préférez les restaurants ou les échoppes un peu éloignés du marché principal, surtout si vous êtes dans une zone touristique. Les vendeurs savent bien que le glutamate donne plus de goûts, et ils craignent que les clients ne viennent plus acheter chez eux s’ils ne mettent pas de glutamate…. alors ils en rajoutent à la pelle.

Dans tous les cas, je ne le redirai jamais assez : mieux vaut acheter chez les petits commerçants.

1) c’est moins cher

2) les vendeurs sont plus souriants

3) la nourriture est de meilleure qualité

4) ça aide le commerce local

5) par contre ils parlent moins bien l’anglais, mais c’est cool : vous allez pratiquer le thaïlandais^^

Et enfin dernier conseil : la Thaïlande est un pays merveilleux où poussent des fruits fantastiques, pleins de goût (du vrai goût), de vitamines et tout le tralala…. Profitez-en pour faire une cure de fruits.

Si vous voulez manger des plats cuisinés, je vous conseillerais de les préparer vous-même, dans la mesure du possible.

Pour les brochettes de viande grillée, si elles sont enduites du mélange habituel sucre+glutamate, il y a la solution de les rincer avant de les manger. Ca ne retire pas tout le sucre et le glutamate, mais ça rend le tout moins écœurant. Je dis ça surtout pour ceux qui n’aiment pas le goût du sirop de glucose.

Le meilleur soin pour le visage.

Les nouvelles crèmes de soin en tous genres n’en finissent pas d’inonder le marché. Pour atténuer les rides, on veut nous faire acheter toute une armada de produits supposés contenir des vitamines…

Et puis, il y a la crème hydratante pour hydrater, mais pas celle pour peau sèche, qui hydrate sans tonifier, plutôt celle pour peau grasse qui hydrate en étant émoliante, mais sans graisse et qui tonifie, et ainsi de suite…

Or tous ces produits ne sont franchement pas rentables sur le long terme, puisque s’il est vrai qu’ils effacent les rides de vos paupières, ils vous coûtent aussi les yeux de la tête…

Et je ne parle pas des expérimentations sur les animaux, ni des produits chimiques présents dans ces produits, ni des modes de production de ces derniers, modes de production qui doivent certainement être polluants, par-dessus le marché!

Heureusement pour vous, Faranguette connaît une gamme de produits efficaces, 100% naturels, gratuits, et bourrés de toutes les vitamines dont votre peau peut avoir besoin pour s’hydrater, se raffermir, se tonifier, et j’en passe…

J’ai nommé : les fruits! 

Chaque fois que vous mangez des fruits, et que vos doigts sont pleins de jus, avant de vous rincer les mains, appliquez-les sur votre visage. Vous verrez, c’est très rafraichissant!

Cela fait rapidement diminuer les rides et donne à votre visage un teint plus coloré. Après 20mn, vous pourrez vous rincer le visage.

Et voilà pour la solution beauté naturelle du jour.

 

L’arnaque des paquets de tabac neutres…

Maintenant qu’en Europe ils ont imposé les paquets de tabac neutres, vous ne pouvez même plus savoir si votre tabac contient des additifs ou non!!!!!!

 

En effet, la rumeur, (tout à fait fondée), selon laquelle les additifs ajoutés dans le tabac sont en fait encore plus addictifs que le tabac lui-même a dû commencer à inquiéter les gouvernements.
De plus en plus de gens déclaraient avoir réussi à arrêter de fumer grâce aux tabacs sans additifs, qui leur ont permis de se sevrer des addictifs présents dans des marques comme Marloboro, Camel, etc…

Voir ce lien : sevrage des additifs du tabac 

( site : http://additifstabac.free.fr )

Donc maintenant, il est devenu INTERDIT pour les fabricants de faire paraître la mention « tabac sans additifs » sur le paquet. Même la mention « 100% tabac » est interdite.
Sous prétexte que ce type de mention pourraient inviter les gens à fumer plus.
Mais alors dans ce cas, pourquoi avoir supprimé l’obligation pour les fabricants d’écrire sur les paquets le pourcentage d’additifs, de nicotine et de goudron????
Car c’est bel et bien le cas : depuis l’arrivée des paquets neutres, l’obligation de faire figurer le pourcentage d’additifs ajoutés au tabac sur les paquets a été purement et simplement supprimée.

Donc désormais, les industriels peuvent mettre autant d’additifs qu’ils le souhaitent, sans avoir à l’inscrire sur les paquets. 

> Heureusement, et après quelques recherches, on peut trouver le lien ci-dessous : il est encore possible de connaître les pourcentages d’additifs sur le site du laboratoire national de métrologie et d’essais.

voir ce lien:

composition du tabac

( site : https://www.lne.fr )

Les fabricants de tabacs sont en effet toujours tenus de déclarer les ingrédients présents dans le tabac chaque année, et il est possible de trouver ces informations. Voici un lien grâce auquel vous pourrez vérifier quelles marques contiennent des additifs ou pas.
> Faites passer le message !!!!!!
(maintenant, il faut espérer qu’il n’y ait pas de magouilles au niveau des contrôles. On sait bien comme il y de la corruption partout…… à l’heure actuelle, en tant que consommateur, je me demande parfois si la question n’est pas de savoir si je suis parano, mais bien plutôt de vérifier si je le suis suffisement….)

Le Miam-ô-Fruits : du MMS naturel?

Une forme de MMS naturel sans eau oxygénée ?

C’est bien ce que pourrait être la base du Miam-ô-Fruits, une recette de salade de fruits vitaminée créée par France Guillain.

La recette du Miam-ô-Fruits de France Guillain consiste en effet à mélanger, dans l’ordre, de la banane écrasée oxydée, de l’huile, quelques graines oléagineuses pillées et du jus de citron. A ce mélange sont ensuite ajoutés des morceaux de 10 fruits différents.

Selon France Guillain, les doses d’huile et d’oléagineux doivent être scrupuleusement respectées afin de ne pas faire d’excès dans le mélange fructose/graisses.

Pour en savoir plus sur la recette et les doses exactes, vous pouvez consulter son site internet :

Miam-Ô-Fruit … La recette

Il a été prouvé que le Miam-ô-Fruits, consommé quotidiennement, apporte de très nombreux bienfaits pour la santé, et peut même faire disparaître de nombreux symptômes chroniques. Cette recette de salade de fruits vitaminée est également de plus en plus prisée des grands sportifs, car elle diminue très fortement le stress oxydatif lors des efforts intenses exercés sur le long terme.

Certains pensent que le secret du Miam-ô-Fruits repose sur le mélange graisses + citron, (un mélange excellent pour purger le foie).

D’autres pensent que cela vient de la banane oxydée et du fait que la combinaison des aliments dans cette salade rend maximale l’assimilation des vitamines et des minéraux.

Mais en fait, la question qui me taraude depuis quelques temps est la suivante : et si le mélange banane oxydée + citron était une sorte de MMS naturel ?

Qu’est-ce que le MMS ?

Le MMS est un médicament non approuvé par les autorités médicales. Il est actuellement très controversé, et ce malgré de très nombreux cas de guérison spectaculaires obtenues suite à la prise de ce médicament.

En effet, le MMS n’est en fait que de l’eau oxygénée activée par une solution acide, (jus de citron, vinaigre, ou acide citrique).

Ce mélange eau oxygénée + solution acide va créer du dichlorure de sodium, qui une fois ingéré, va éliminer tout ce qui est acide dans le corps : virus, bactéries, cellules cancéreuses, etc…

D’où des cas de guérison spectaculaire de cancers, de graves infections, de maladies virales, et ainsi de suite.

Le problème : boire du MMS revient tout de même à boire de l’eau oxygénée. Activée avec du jus de citron, certes, mais enfin bon…. il y a là toujours sujet à inquiétude.

Beaucoup de gens dénoncent donc le MMS comme étant potentiellement dangereux sur le long terme. Il est vrai que les études manquent cruellement sur les véritables effets du MMS dans l’organisme. Certains avancent même que ce médicament pourrait affecter les liaisons oxygénées de l’ADN sur le long terme.

Mais là encore, pas d’études, aucune preuve, rien que des suppositions.

Or, depuis que je mange le Miam-ô-Fruits de France Guillain, je me pose de plus en plus de questions sur les bienfaits de la nourriture oxydée sur l’organisme.
Il y a encore assez peu de données sur la question. Mais j’ai lu plusieurs articles, sur internet, vantant les mérites de l’huile rance, soit de l’huile oxydée.

N’étant pas chimiste, je ne peux ici que spéculer sur la question.

Mais si l’efficacité miraculeuse du MMS repose sur l’activation d’eau oxygénée avec du citron, dans ce cas l’efficacité du Miam-ô-fruits ne viendrait-elle pas de l’activation de la banane oxydée avec du citron ?

N’est pas le fait d’activer un aliment oxydé qui fait toute l’efficacité du Miam-ô-fruits ?

A partir de là, on peut même supposer que la base du Miam-ô-fruits puisse être préparée avec n’importe quel fruit oxydé, en remplacement de la banane. Ce qui signifie que l’on pourrait préparer le Miam-ô-fruits avec de la pomme oxydée, de la mangue oxydée, etc…

> Et cela permettrait alors de pouvoir grandement varier les recettes!

(Perso, j’ai déjà essayé avec de la pomme oxydée, et c’est très bon.)

Les relations toxiques et nos gentils félidés…

 

Avez-vous de gros problèmes de comportements qui vous poussent à toujours aller vers des relations ambiguës et toxiques dans votre vie ? Vivez-vous en contact avec des chats qui chassent et mangent des souris ? On y pense rarement, mais les 2 faits peuvent être liés !

Tout ceci est dû à un parasite qui infecte d’abord les souris, j’ai nommé : le toxoplasme.

Quel est l’effet d’une infection par le toxoplasme pour la pauvre souris ? Et bien tout simplement, les souris infectées ne ressentent plus la peur, ne fuient plus lorsqu’elles sentent l’odeur du chat et se mettent à se promener impunément sur le territoire dudit félidé.

Cette attitude suicidaire explique que les souris infectées ont 2 fois plus de chances d’être dévorées par le chat. Une fois que le chat a mangé la souris, le parasite s’installe confortablement dans l’organisme du chat. C’est par le biais des excréments de ce dernier que les œufs vont retourner dans le sol.

Vous me direz : quel rapport avec le comportement de l’humain ?

Et bien tout simplement, les chats ont une fâcheuse tendance, lors de leur toilette quotidienne à se laver le derrière ainsi que tout leur pelage en même temps. Autrement dit, ils peuvent facilement répandre les œufs du toxoplasme sur tout leur beau pelage soyeux.

Et évidemment, si vous les caressez et les embrassez, vous pouvez à votre tours être contaminé.

Dans les faits, un très grand nombre de personnes vivent avec le toxoplasme sans même s’en rendre compte, et les médecins ont tendance à dire que ce parasite n’est un danger que pour les femmes enceintes.

Erreur………..

D’autres études prouvent en effet que toutes les personnes schizophrènes ont des taux au moins 2 fois plus élevés de toxoplasme que la moyenne.

Or, les personnes schizophrènes ont toutes tendance à se diriger vers des relations très toxiques, avec des personnes qui leur font du mal et les rabaissent. Ils ont également tendance à adopter des conduites à risques.

D’autre part, de très nombreux schizophrènes souffrent d’une relation avec une voix qui maintient avec eux une relation ambiguë, toxique et souvent destructrice. Et chaque fois, ces relations toxiques, (avec une personne ou avec une voix), devienent peu à peu une addiction.

De ma propre expérience, je confirme que les moments de ma vie où j’ai développé des obsessions inexplicables me poussant vers des personnes vraiment mauvaises ou dangereuses pour moi, les périodes de ma vie pendant lesquelles je revenais systématiquement vers ces personnes, comme si je voulais me faire du mal : correspondaient à des périodes durant lesquelles je vivais entourée de chats.

Attention, ceci n’est qu’une partie de l’explication, bien évidemment !

La plupart des gens sont totalement insensibles à la toxoplasmose. Mais si vous avez déjà, par exemple, des problèmes relationnels dû à certains traumatismes durant l’enfance, (ou autre raison), cela risque d’augmenter votre sensibilité à l’effet psychologique de la toxo. C’est une question de génétique tout autant que de terrain psychologique.

Donc si vous avez déjà tendance à avoir ce type de problèmes relationnels dans votre vie, évitez de vivre trop en contact avec des chats qui mangent des souris. (ceux qui se nourrissent exclusivement de croquettes ne sont sans doute pas concernés).

Autrement, cela risque de ne pas arranger votre cas !

ZE solution pratique spéciale fumeurs.

Solution pratique pour les fumeurs que même les images de films d’horreur imprimées sur les paquets n’empêchent pas d’y plonger leurs doigts jaunis toutes les heures pour en sortir une cigarette et la porter à leur bouche…

 

J’ai nommé : le « Oil Pulling ».  ( Ou : bain de bouche à l’huile en français).

lien : https://bonheuretamour.wordpress.com/2012/06/15/la-methode-huile-bouche-nommee-gandoush-en-inde-ou-oil-pulling-ailleurs/

Loin des campagnes aux slogans passablement fanatiques et agaçants du genre : « Le tabac, c’est tabou, on en viendra tous à bout » et j’en passe des pires et des meilleures ; faisons plutôt preuve de pragmatisme et considérons les choses plus simplement.

Lorsque l’on fume, on donne plus de travail de nettoyage à son corps. Donc la solution pourrait être de, tout simplement, donner à son corps des moyens supplémentaires pour se détoxiner chaque jour.

Vous pouvez bien évidemment tenter de gober quelques comprimés de chlorella de-ci de-là… Mais ces plantes telles que la chlorella, la spiruline et la coriandre partagent toutes le même inconvénient : elles font sortir plus de toxines qu’elles ne peuvent en chélater.

Ce qui signifie qu’un surplus de toxines risque de tourner dans la circulation sanguine avant de se re-déposer ailleurs.

D’autre part, lorsque l’on élimine des toxines par les selles ou l’urine, cela veut dire que les toxines vont devoir traverser tout le processus de digestion…

Ceci est, en fait, très éprouvant pour le corps.

Mais c’est aussi relativement mauvais pour le moral !

Chaque fois que le corps doit éliminer des toxines, notre humeur en prend un coup, car cela peut faire ressortir beaucoup d’émotions négatives.

C’est donc éprouvant physiquement comme moralement.

C’est pourquoi je teste en ce moment la solution du Oil Pulling.

En quoi ça consiste ?

• Il suffit de garder en bouche, pendant environ 15-20 minutes, une cuillère à soupe d’huile de bonne qualité, (vierge extra première pression à froid si possible), et de la faire circuler dans la bouche doucement.

Evitez de faire circuler l’huile trop vite, autrement vous aurez la bouche rapidement emplie de salive et vous serez obligé de cracher le tout au bout de 2 minutes.

Bien faire attention de ne surtout pas avaler l’huile !

• Cracher l’huile au bout de 15-20 minutes et rincer bien la bouche avec de l’eau, 2 ou 3 fois si nécessaire. Vous pouvez même utiliser de l’eau salée pour rincer la bouche.

L’huile aura fait sortir les toxines et les aura captées, ce qui la rendra blanche.

 

Pourquoi préférer le Oil Pulling ?

Parce-que lorsque l’on s’intoxique par la bouche, il est bien plus logique et plus facile de se détoxiner par la bouche également !

Bien sur, une partie des toxines va se répandre dans tout le corps. Mais dans les faits, une grande partie des toxines va rester logée dans les poumons, mais aussi dans les muqueuses de la bouche, la gorge, ainsi que le long des nerfs qui passent dans la nuque et se terminent au niveau des tempes et des mâchoires ou au niveau des épaules et du haut du dos.

C’est pourquoi les fumeurs ont souvent des problèmes de raideurs au niveau de la mâchoire et des épaules.

Or, si les toxines s’accumulent près de la zone d’intoxication, soit la bouche, il est donc beaucoup plus simple de les évacuer par la bouche également. Ce qui permet d’éviter les effets secondaires pénibles propres au passage des toxines dans le sang et le système digestif.

Personellement, je bois beaucoup d’eau et de thé après avoir fait le Oil Pulling. Mais certaines personnes disent ne pas boire du tout.

Certaines personnes expliquent aussi qu’il ne faut pas avoir mangé 4 heures avant de pratiquer le Oil Pulling.

Et voilà, c’est aussi simple que cela…

 

Et là vous allez me dire : ne serait-il pas encore plus simple d’arrêter de fumer ?

Oui, c’est vrai, c’est vrai… j’y avais pas pensé mais c’est très vrai…

Mais maintenant que j’y pense, ce serait encore plus simple si toute cette planète pouvait cesser :

• de boire de l’alcool,
• de fumer,
• de manger du chocolat,
• de boire du café 6 fois par jour,
• de s’empiffrer de sucreries,
• de mettre de la weed dans ses brownies,
• de jouer au poker des nuits entières,
• de faire des puzzles à 5000 pièces et des constructions navales avec des allumettes,
• de se légumer devant « Friends » et « Prison Break » chaque soir,
• de se liquéfier les neurones sur Manga Reader,
• de jouer à « Tetris niveau Expert » sur son Iphone,
• et enfin pour finir : de passer 12 heures par jour sur Facebook et sur internet en général… (Ce qui m’embêterait un peu parce-que ça ferait moins de lecteurs pour mon blog, d’ailleurs. Alors déjà que j’en ai pas beaucoup, hein…)

Comme m’a dit quelqu’un un jour : « Nous sommes tous des êtres liés à des addictions ».

> CQFD (Ce Qu’il Fallait Démontrer).

Diète de graines. Episode 3

Troisième article consacré à ma petite expérience concernant un régime alimentaire uniquement à base de graines. Après avoir partagé des solutions pratiques pour faire germer les graines dans les précédents articles, ici je vais décrire les différents effets que la diète de graines a eu sur mon mental.

(Attention, je précise bien que je ne suis ni nutritionniste, ni médecin! J’ai créé le concept de cette diète dans le seul but de mieux comprendre l’effet des différents groupes d’aliments sur le corps et le mental, afin de mieux ressentir les énergies des différents aliments que nous consommons tous les jours et la façon dont ces énergies influencent nos pensées).

L’effet de cette diète est assez intéressant. Symboliquement parlant, les graines représentent l’idée de potentiel, de pouvoir et de puissante en attente de s’exprimer.

C’est du potentiel de vie près à éclore et conquérir le sol à tout instant. La graine, c’est ce qui représente le pouvoir de l’esprit, de projeter pour l’avenir, de penser et de concevoir.

C’est l’imagination. La graine est presque détachée du reste du monde, elle est sèche. Tant que le processus de germination n’est pas enclenché, elle ne réagit que très peu à son environnement et à la présence d’autres graines.

La graine, parle donc un peu du fait d’être centré sur soi-même et imperméable au monde extérieur. C’est le fait d’être son propre univers, ou bien de se prendre pour le centre du monde.

La graine représente la capacité d’abstraction et d’encodage de l’information. C’est ce qui contient le code original à partir duquel tout peut se déclencher et se répandre, croître et se multiplier.

> Celui qui détient l’information détient le pouvoir.

La graine est aussi proche du concept de la monnaie. Car après tout, l’argent, ce n’est que du potentiel d’action qui a été rationalisé et quantifié.

> Avec cette somme d’argent, je peux faire ci et puis je peux faire ça, etc…

A noter également que c’est suite à l’invention de l’agriculture que le concept de l’écriture a commencé à exister. Or les premiers signes/symboles écrits ont été inventés par les premiers sumériens afin de quantifier les échanges. Ce qui signifie qu’en fait, au tout début, l’écriture et la monnaie ne faisaient qu’un et sont nés ensemble.

Avant l’agriculture, avant que l’homme ne se commence à se nourrir de céréales chaque jour, la monnaie et l’écriture n’existaient pas vraiment…

> C’est donc à partir du moment où l’homme s’est mis a manger des céréales qu’il a commencé à quantifier le potentiel et à manipuler des concepts abstraits par le biais de symboles écrits. Intéressant n’est-ce pas?

 

Contrairement aux autres nourritures, les graines se conservent pendant longtemps sans perdre de leur valeur ni de leur pouvoir, tout comme de l’argent ou de l’information écrite.

C’est pourquoi je tenais à tester cette diète particulière : pour en observer l’effet sur l’esprit.

 

• Tout d’abord, pendant la diète, je me sentais beaucoup plus forte face aux voix qui me parlaient. (je rappelle que j’entends les voix).

Je me suis d’un seul coup rendue compte à quel point ces voix étaient une perte de temps. Souvent, les informations apportées par les voix se trouvaient avérées par les faits. Cependant : ce n’était pas toujours le cas !

Et d’autre part : je ne me rendais compte de la véracité d’une information que plus tard, une fois que c’était réellement arrivé à la personne. Résultat : au moment où les voix me disaient quelque chose à propos de quelqu’un, je ne savais pas quoi faire de cette information, étant donné que je ne pouvais pas m’y fier à 100%. (pas très utile, donc…)

C’est un peu la même impression que d’avoir une radio branchée dans la tête en permanence qui passe de la pub à longueur de journée : on ne peut jamais savoir si la pub dit vrai. Et même si on sent que c’est vrai, on ne peut pas toujours le vérifier directement !

Alors d’un seul coup, j’ai commencé à répondre aux voix : « une information que je ne peux pas vérifier ni prouver de manière certaine ne m’intéresse pas. Je ne veux plus rien entendre, je refuse de recevoir ces informations à propos de telle ou telle situation, de telle ou telle personne, etc… »

J’ai commencé à me sentir beaucoup plus stable, pragmatique et rationnelle. Ce qui m’a faite beaucoup de bien. Je me sentais beaucoup plus en contrôle de ma vie et de mes émotions.

Tant et si bien que j’avais l’impression que toutes les émotions que je ressentais n’étaient pas les miennes. J’avais systématiquement l’impression que c’était les émotions des autres que je ressentais. J’ai commencé à tout projeter sur les autres.

Dans le plus pur style : « c’est les autres qui ont toutes ces émotions. Moi je suis parfaitement en contrôle de moi-même et je vais très bien. Ce sont les autres qui vont mal, pas moi. Non, je ne suis même pas en colère, je me fiche totalement de me mettre en colère. Ce sont les énergies de quelqu’un d’autre que je ressens, etc… »

> Bref : je devenais légèrement hypocrite envers moi-même.

D’autre part, et c’est assez amusant : je me suis sentie des envies très fortes de pratiquer la danse classique à un haut niveau. Je m’étais même mise en tête de faire des exercices d’écoles de ballet et de m’exercer chaque jour au moins 1h voire 2h afin d’atteindre le même niveau. Ce n’était pas tant pour danser, c’était plutôt dû à une soudaine obsession de maîtriser parfaitement la technique.

J’ai également ressenti l’envie de parler, d’enseigner, de partager ce que j’avais appris de l’entente de voix et de la lecture d’aura, etc… J’ai donc écrit et publié beaucoup d’articles durant cette période. J’ai retrouvé une façon très pragmatique de considérer les voix et de dire à quoi elles correspondaient. Et dans ma vie, je commençais à faire un tri en repoussant sans ménagement les voix qui me faisaient perdre mon temps et mon énergie.

J’ai re-déterminé de manière précise ce que je voulais ou non dans ma vie, fais la différence entre ce qui était moi et ce qui n’était pas moi.

J’en venais donc à repousser tout argument ou critique que je trouvais encombrants ou inutiles, sans même prendre le temps d’y réfléchir. Je répondais aux voix : « oui, oui, c’est peut-être intéressant comme point de vue, mais ça je n’ai pas envie de l’entendre. Cet argument de m’intéresse pas. Ce n’est pas mon problème. »

Je retrouvais du même coup les principes et les idéaux auxquels je voulais me tenir, (que les voix jusque-là cherchaient tout le temps à contredire et critiquer).

> En conclusion : Il se pourrait que cette diète soit intéressante pour toute personne qui a besoin de retrouver un peu de sérénité et d’aplomb moralement, et de retrouver une certaine force au niveau mental. (je parle surtout des personnes instables ou facilement impressionnables/manipulables.)

Par contre, cette diète rend un peu hypocrite envers soi-même et pousse parfois à projeter systématiquement tout sur les autres.

Je précise que je n’ai cependant pas pu faire cette diète à 100% pendant de longues périodes, (rarement plus de 5-6 jours). Le reste du temps je faisais des exceptions, afin de ne pas me carencer mais aussi parce-que je n’avais pas les moyens de la faire à fond, d’acheter des aliments plus variés, de tester des recettes intéressantes, etc…

D’autre part, je ne peux que donner le résultat que cette diète a eu sur moi-même. Je ne sais pas comment réagiraient d’autres personnes. Pour vraiment connaître les effets de cette diète, il faudrait évidemment que beaucoup de personnes la testent.

> Donc si vous tentez l’aventure un jour, n’hésitez pas à me faire part de vos impressions, de vos commentaires, idées recettes etc…

La Diète de graines. Episode 2

 

Au début que j’essayais de faire germer les graines, je me suis très vite trouvée confrontée à certains problèmes : les graines pourrissaient trop rapidement à cause de la chaleur et de l’humidité ambiantes.

Lors des premiers essais, j’ai fais comme auparavant en France : je mettais les graines à germer dans des pots en verre que je fermais avec un carré de moustiquaire. Mais les graines avaient tendance à moisir. D’autant plus la chaleur faisait s’évaporer puis se condenser l’eau sur les parois du bocal. Il a donc fallut trouver des solutions pour s’adapter au climat local…

 

J’ai alors essayé de mettre les graines à germer dans des coques de noix de coco dont j’emplissais le fond de sable. Je couvrais le sable d’un carré de moustiquaire et posais les graines à germer dessus.

Je pensais que cette méthode permettrait de réguler l’humidité. Que nenni….

Les graines avaient tendance à pourrir tout aussi rapidement, le sable retenant en fait l’humidité très longtemps, voire ne séchait jamais.

De plus, pour récolter les graines, il me fallait décoller le carré de moustiquaire du fond de sable, puis couper les racines qui avaient traversé les carreaux de ladite moustiquaire, et pour finir laver scrupuleusement les graines pour en retirer tout le sable. (et il en restait forcément un ou deux grains…)

Donc j’ai ensuite essayé de les faire pousser dans des fonds de bouteilles en plastique, toujours posées sur un carré de moustiquaire. Cette fois-ci, les graines séchaient trop vite sur le carré de moustiquaire.

Donc j’ai fini par les faire germer le plus simplement du monde, c’est à dire : dans le fond de bouteilles en plastique…

> Moralité : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.

Je n’avais pas vraiment les moyens de faire germer beaucoup de graines différentes :

• riz blanc/rouge/noir
• haricots mungo
• coriandre
• fenugrec
• moutarde
• lentilles
• pois chiche

Les graines les plus faciles à faire germer : fenugrec, moutarde, lentilles, haricots mungo.

Les pois chiche ont tendance à pourrir rapidement.

Les grains de riz étant parfois cassés, il ne faut pas les faire germer trop longtemps, sinon les grains cassés commencent à pourrir. Pour faire germer du riz longtemps, il vaut mieux acheter du riz non-décortiqué.

Quant à la coriandre, elle met tellement de temps à sortir le germe, (environ 10 jours), qu’elle a tendance à pourrir aussi si elle trop arrosée.

• Recettes :

J’aurais aimé faire des recettes beaucoup plus variées, mais là encore, je n’avais pas vraiment les moyens, et surtout je n’ai qu’une bouilloire pour cuire la nourriture.

Malgré cela, il y a quand même moyen de se faire de bonnes salades et currys de noix de coco.

> Voici donc des petites recettes simples, faciles à faire, qui peuvent se décliner en plein de versions différentes selon les ingrédients et condiments que l’on utilise. Ca nourrit son homme et ça a bon goût. voilà, voilà…

 

Salade : riz, haricots mungo, fenugrec et moutarde germées, chair de noix de coco verte tout juste râpée et éclats de cacahuètes grillées.

Les blinis : pour manger avec de la sauce curry, ou bien avec du chocolat pour le petit-déjeuner, ou pour accompagner une salade, etc… On peut les accompagner de chair de noix de coco fraîchement râpée, de pousses et de graines germées, ou bien sûr : les tartiner d’œufs de poisson.

> Je viens d’avoir l’idée en écrivant cet article : il est sans doute possible de préparer une sorte de Tarama, avec de l’huile d’oléagineux ou de noix de coco et de la crème ou beurre de coco + de la farine de riz ou de légumineuses. Mince… j’aurais dû y penser plus tôt 🙂

On peut évidemment faire cuire les blinis à la poêle, mais comme je devais me débrouiller avec ma fidèle bouilloire, et ben je les faisais bouillir.

La pâte :

– mélanger de la purée de légumineuses cuites, (ou de la farine de légumineuses), avec de la farine de riz. Pour la légumineuse, j’utilisais des lentilles ou des pois chiches. Préférez la farine de riz complet si possible. Au cas où vous n’en trouveriez pas : utilisez de la farine de riz blanc. Vous pouvez également utiliser de la purée de riz complet cuit.

– ajouter de la farine de riz gluant, (pour la consistance).

– vous pouvez ajouter des graines de votre choix pour épicer : cumin, moutarde, etc…

– vous pouvez diluer la pâte avec du lait de noix de coco ou y ajouter de la chair de noix de coco râpée.

– vous pouvez y ajouter de la poudre ou des éclats d’oléagineux : amandes, cajou, cacahuètes, etc…

Si vous les faites bouillir : la pâte doit être très ferme, pétrie à la main pour lui donner une forme de petites galettes que l’on jettera dans l’eau bouillante. Elles seront cuites en quelques minutes.

Après les avoir sorties de l’eau, les laisser refroidir un peu. Vous pourrez ensuite les saupoudrer d’un peu de farine de riz, (pour leur donner une texture sèche au toucher, un peu comme les mochis japonais), ou bien les saupoudrer de cacao, ou bien les couvrir de graines de sésame, etc…

Note : je n’ai pas essayé, mais il doit être possible de faire cuire ces blinis à la vapeur.

Si vous les faites cuire à la poêle : il faut diluer la pâte beaucoup plus. Cette dernière doit avoir une texture liquide, tout en restant épaisse. Versez un peu de pâte dans la poêle afin qu’elle s’étale en formant de petits blinis et laissez cuire environ une minute sur chaque face.

Pour la sauce curry : il suffit de mélanger plusieurs graines avec de la poudre de curcuma, (la poudre de curcuma étant une petite incartade au principe de la diète, puisque c’est une racine).

A vous ensuite de doser les différentes graines du mélange selon vos goûts. Évidemment, vous pouvez réduire toutes ces graines en poudre si vous préférez.

Vous pouvez mettre :

• beaucoup de fenugrec
• moutarde
• cumin, (vous pouvez en mettre pas mal aussi)
• poivre, (un peu)
• coriandre, (un peu, car le goût est fort!)
• poudre de noix de muscade, (un peu)
• et même des graines de chili, pour épicer ^^ (mais pas beaucoup!)

Vous pouvez utiliser ensuite le mélange avec du lait de coco ou avec de l’huile de coco.

Note : attention de ne pas trop manger de légumineuses non-germées et d’œufs au cours du même repas. C’est trop lourd à digérer pour l’organisme. Si vous mangez des œufs, ne mettez qu’une cuillère à soupe maximum de légumineuses. Il est également très important de ne manger que des œufs BIOS. Les œufs non-bios sont en effet un vrai poison pour le foi.

Crêpes et galettes.

Je faisais ces crêpes souvent il y a quelques années, lorsque je vivais dans une maison pourvue d’une cuisine.

Il vous faut :

• 1/3 farine de riz brun/rouge/noir ou blanc.
• 1/3 farine de légumineuses, (pois chiches, lentilles…)
• 1/3 farine de riz gluant
• lait de coco

Mélanger les farines avec le lait de coco jusqu’à obtenir une pâte liquide.

Si vous n’avez pas de farine de légumineuses, il est possible de mettre juste les 2 farines de riz, (gluant et complet), en faisant moitié-moitié.

Vous pouvez mettre un peu de sucre et/ou de sel.

Pour le sucre, si vous voulez rester dans le principe de la diète de graines, je suppose qu’il est possible d’utiliser du sirop de blé, d’orge ou de maïs. Par contre je ne suis pas certaine que ces sucres soient très bons pour la santé…

Faites cuire les crêpes à la poêle.

Si vous rajoutez un œuf et diluez moins la pâte, cela peut faire un pancake.

Si vous faites une galette salée et épaisse, parfumée avec des graines, (cumin, sésame), cela donne une sorte de Nan indien, qui peut se manger comme du pain en accompagnement du plat principal.

Pour des galettes, vous pouvez utiliser, à la place de la farine de riz, de la farine de sarrazin.

Les astuces : cuisine bouilloire.

Pour faire cuire du riz gluant à la vapeur :

• faire tremper le riz gluant toute une nuit dans de l’eau, après l’avoir bien rincé.
• au matin, mettre le riz dans un carré de tissu blanc bien propre et suspendre le carré de tissu au bord de la bouilloire, de façon à ce qu’il pende dans la bouilloire.
• verser un peu d’eau au fond de la bouilloire, fermer la bouilloire et porter l’eau à ébullition autant de fois que nécessaire pour que la vapeur cuise le riz. Pendant la cuisson, ne pas hésiter à remuer le riz dans le sachet, afin de s’assurer que la cuisson soit homogène.

Pour faire une omelette :

• battre des œufs dans un bol avec les condiments de votre choix.
• verser la préparation dans un bocal à confiture qui rentre dans la bouilloire.
• Mettre ledit bocal à confiture dans la bouilloire, verser de l’eau au fond de celle-ci et porter ensuite l’eau à ébullition autant de fois que nécessaire pour faire cuire le contenu du bocal au bain-marie.

Dans l’épisode 3 de la diète de graines, je parlerai des effets de cette diète sur l’humeur et le mental.

La diète de graines : épisode 1.

J’ai créé cette diète car je souhaitais tester l’effet de certains types d’aliments sur les humeurs et les pensées.

Les aliments : c’est de l’énergie!

 

Selon la façon dont nous alimentons notre corps physique, (et donc énergétique), nous n’aurons pas les mêmes énergies en nous pour fonctionner au quotidien.

La diète de graines : en quoi ça consiste?

Ca consiste à ne manger que les aliments qui contiennent le potentiel d’une vie nouvelle, mais qui ne sont pas, ou peu, vivants.

Sont donc inclus dans cette catégorie :

• toutes les céréales.
• toutes les légumineuses.
• toutes les graines qui servent à épicer.
• tous les oléagineux.
• mais aussi… tous les œufs!

Ces aliments peuvent être consommés : crus, cuits, germés, sous forme de farines, d’huiles, de laits/fromages végétaux, etc…

Note : cette diète inclut bien évidemment la noix de coco, étant donné qu’il s’agit d’une graine et non d’un fruit!

Attention de ne pas suivre cette diète à 100% sur le long terme : quelques jours à une semaine me parait suffisant. Ne prenez pas le risque de vous carencer et n’hésitez pas à faire quelques exceptions en mangeant des fruits, de la viande etc… si le besoin s’en fait sentir.

Pour pouvoir suivre cette diète, il est important de consommer des graines germées, afin d’avoir un apport en fibres, vitamines, etc…

Il est d’autre part impératif  de manger bio, EN PARTICULIER LES OEUFS!

les œuf non-bios sont un véritable poison pour le foie!

D’autre part, il est nécessaire de consommer le plus possible des céréales complètes, et même éviter d’utiliser les farines blanches raffinées.

Note importante : il est  bon de continuer de consommer des céréales, légumineuses et noix non germées. En effet, un fois que le processus de germination est enclenché, la graine « change » et n’aura plus les mêmes propriétés.

Par exemple : une légumineuse germée n’aura plus la même quantité de fer.

Si vous vivez, comme c’est mon cas, dans un pays à climat tropical, vous pourrez consommer de la noix de coco crue, ce qui vous apportera beaucoup de vitamines et de fibres. Mais attention : il est toujours préférable de préférer le lait de coco fraîchement pressé. En effet : le lait de coco industriel ne contient plus grand-chose d’intéressant pour l’organisme…

De même, il est chaudement recommandé de préférer les huiles « première pression à froid ».

Prochain article : des conseils pour faire germer les graines et quelques idées de recettes simples.  🙂

Comment ouvrir une noix de coco jeune, (encore verte).

Vous pouvez voir ici une grappe de noix de coco que mon gentil voisin a laissé devant ma porte cette nuit.

Détachez la noix de coco de sa branche. Il suffit de faire tourner la noix de coco jusqu’à ce que la tige casse.

Ensuite : commencez à couper l’écorce en incisant avec un couteau, ou bien en taillant avec la machette. Coupez de préférence la partie basse de la noix de coco, celle où il n’y a pas de fleur.

Faites tout le tour pour mettre une portion de coque à nu.

Il vous suffit ensuite de frapper 3-4 coups avec la machette pour casser le sommet de la coque et faire une ouverture. Et voilà : vous pouvez déguster votre noix de coco. L’eau est plus sucrée que celle des noix de coco mûres, et la chair est plus douce et un peu gélatineuse. Un régal le matin au réveil !